Julio Arozarena / L’interprète

  • Et L`Oiseau de feu Julio Arozarena, somptueux, précis, éclatant et lumineux dans chacun de ses gestes le fait revivre, faisant de cette œuvre le reflet de son sujet. Si le Phénix renaît de ses cendres éternellement, un ballet, éternellement, renaît chaque fois qu’un danseur le fait sien avec autant de lucidité, d`engagement et passion.
    Michèle Taddei. Marseille 1996
  • L`Oiseau de feu, interprété avec émotion et brio par un Julio Arozarena qui se hisse au niveau des grands d’hier : Denard, Donn, Bortoluzzi.
    André-Philippe Hersin. / Les saisons de la danse. 10/95.
  • La révélation absolue de ce spectacle : en Ariel le splendide et aérien Julio Arozarena. . Il y a de la magie dans la force et la légèreté de Julio Arozarena, Ariel dans < King Lear-Prospero> et soliste époustouflant au Béjart Ballet.
    B. Chaix. Tribune de geneve 12/94.
  • Atrapado por la calidad del espectáculo el publico se sintió particularmente sorprendido por la destreza física y técnica del bailarín Julio Arozarena que interpreto la muerte del cisne.
    A.P.S El Moudjahid. Argel. 6/88

  • Y sobre todo, Julio Arozarena, el mejor de las dos noches con una coreografía de Michel Descombey, que hubiera encandilado a los espectadores de Metrópolis.
    J.M. Plaza. Diario 16. 6/89

  • Julio Arozarena, danseur longiligne a la plastique admirable, à la présence attachante.
    Laurence Liban. Le parisien 10/94